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Loire & biodiversité

Loire & biodiversité

Pour vous, nous illustrons ici l'exceptionnelle biodiversité que l'on peut rencontrer près de la Loire à Mardié, et plus largement dans le Val de Loire du Loiret ; biodiversité remarquable... mais hélas menacée par un absurde projet de déviation routière datant du siècle dernier, avec franchissements du grand fleuve. Notre association MARDIEVAL s'y oppose durablement (voir notre site http://le-castor-enerve.fr/). Nous avons entrepris de valoriser ces richesses naturelles, et nous refusons qu'elles soient inutilement détruites !

Publié le par Jim
Publié dans : #Observations, #Actualité, #Espèces et territoires
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant

Ce petit passereau ne figure pas habituellement dans les listes d'oiseaux familiers. Pourtant, il est peut-être tout près de chez vous, car il fréquente les milieux ouverts parsemés de buissons et d'arbres, les haies épaisses, les bois, les jardins et les parcs.

"L'Hypolaïs polyglotte (Hippolais polyglotta) est une "fauvette" de taille moyenne qui se remarque surtout à ses parties inférieures très jaunes en tous plumages. Le dessus est d'un brun assez clair nuancé de jaune ou de verdâtre suivant la lumière, avec ailes et queue plus brunes et plus sombres. L'œil est cerclé de jaune. (...)

Lorsque l'oiseau chante ou est en alerte, les plumes du front se redressent.


L'Hypolaïs polyglotte s'entend plus qu'elle ne se voit sur ses lieux de reproduction. Mais une fois son chant localisé, il est possible de trouver assez facilement le chanteur qui ne craint pas de s'exposer au sommet d'un buisson ou au bout d'une branche.

En revanche, le reste de l'activité de l'espèce, comme la recherche de nourriture, échappe à l'observation car elle se déroule au sein de la végétation ligneuse." (oiseaux.net)

L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant
L'Hypolaïs polyglotte, une marathonienne du chant

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité, #Observations
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !

Souvenez-vous : le 14 mai dernier nous avions trouvé trois petits de Hérisson commun ( Erinaceus europaeus ) élevés par leur mère dans notre pressoir. Depuis, nous n'avions pas revu la petite famille qui avait déménagé la nuit suivante. (notre avant-dernier article).

 

Hier 1er juin, une surprise au bord de la prairie la plus proche du pressoir : un jeune visiblement émancipé, qui fouine dans les herbes à la recherche de nourriture. Donc vraisemblablement sevré.

 

Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !

Si l'on va au contact, classiquement le Hérisson se met en boule.  Puis après un temps raisonnable, se remet en configuration normale.

Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !

Mais cet après-midi, nouvelle surprise : alors que l'on retrouve avec joie le petit d'hier, de grandes herbes bougent : un second petit s'y promène... ou s'y dissimule, car il est complètement caché dans cette brousse, à son échelle.

Et de deux... A quand le troisième ?

Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !
Un petit, deux petits... Ils ont bien grandi !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Portrait

(Article repris de juin 2014)

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"Petite Coccinelle rouge cherche points sombres sur fleurs de Digitale pourpre" !

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C'est le début des floraisons de la Digitale pourpre (Digitalis purpurea). Espèce de soleil ou de demi-ombre, elle apprécie les sols frais, pauvres et plutôt acides : les coupes forestières, les clairières, les lisières, les bords de chemins ou les landes.

 

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C'est une vivace qui peut atteindre 2 mètres de hauteur. Elle reprend chaque année depuis le sol, et fleurit ici de juin à juillet. Son pollen est dispersé par le vent.

 

Les fruits, par la suite, libèrent après avoir sèché des milliers de petites graines en billes qui se resèment sur les sols favorables : on trouve donc généralement les Digitales en colonies, c'est une fleur qui ne passe pas inaperçue dans certains paysages.

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La Digitale pourpre est une plante velue à la tige creuse mais solide. Ses feuilles sont crénelées-dentées et leur face inférieure est ridée en réseau. Ses fleurs sont pourpre clair, parfois blanches, tachées de pourpre foncé à l'intérieur de la corolle. Ces dernières sont longues de 4 à 5 cm. Elles sont placées en grappes pendantes le long de la tige.

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Mais attention, la Digitale est une plante extrêmement toxique, malgré ses usages médicinaux : on en extrait la digitaline ou digitoxine, utilisée comme tonique cardiaque.

Il faut donc mettre en garde les enfants qui seraient tentés de la cueillir, et prendre un minimum de précautions si on en fait des bouquets.

 

(Notamment d'après Wikipedia)

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits

Depuis une dizaine de jours, un Hérisson commun ( Erinaceus europaeus ) s'affairait assez souvent, même en plein jour, dans les abords de la maison.
 

A deux reprises, je l'avais même vu rentrer dans la cour centrale, longer un mur derrière la végétation... Et disparaître inexplicablement au niveau d'une porte ancienne donnant sur une "grange". Je l'avais même cherché vainement dans ce local au sol en terre battue.

 

Je l'ai pris en photo de près le 4 mai d'abord...

Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits

... Puis le 8 mai. Il ne paraissait pas trop farouche.

Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits


Mais je l'ai vu aussi plusieurs autres fois, notamment assez récemment, un matin à l'aube, traversant la prairie au moment du lever du jour.


Et puis hier soir, en rangeant du matériel de la BalbuFête de dimanche dernier, dans le pressoir qui sert de dépôt pour beaucoup de choses, je soulève un vieux camouflage tombé au sol, et je découvre le "pot aux roses" : le Hérisson, certainement une femelle, s'est installée là en se glissant sous une seconde porte séparant le pressoir de la grange, puis en escaladant un rebord en brique entourant le pressoir.



C'est là qu'elle a dû mettre au monde sa portée, vraisemblablement aux alentours du 1er mai.

Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits

Spectacle "craquant", mais photos difficiles à prendre, car dans une certaine obscurité...

Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits

Surtout depuis que la mère s'est reculée, sans doute pas rassurée d'être découverte.



15 mai - 22 heures - Un petit coup d’œil sur la cachette montre que la femelle s'est absentée. Normal, c'est la nuit qu'elle cherche de la nourriture.
Les trois petits sommeillent... Sauf le plus grand qui s'est réveillé, et prétend partir en balade.
Il est rapidement remis en place, et la lumière éteinte.

 

 

Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits
Quand le Hérisson s'invite à la maison... avec trois petits

16 mai - 7h - La cachette est vide. La mère a dû estimer plus prudent de chercher une autre cachette. Sans doute pas très loin, car les petits se déplacent maladroitement et sont encore aveugles !

 

Fin de l'épisode !



Consultez l'article de Wikipédia !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Observations, #Actualité
Le Renard et la Bergeronnette

Premier mai - 8h 45 : Dans une atmosphère légèrement embrumée, un Renard roux (Vulpes vulpes) remonte tranquillement le sentier désert de la rive de Loire.

Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette

Il se met parfois en arrêt, sur le chemin ou en en sortant, sur un bruit ou une odeur...

Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette

Alors qu'il s'éloigne,  un bruit volontaire de ma part retient son attention : il se met en arrêt et se retourne...

Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette

Une Bergeronnette grise vient alors se poser sur le chemin, juste devant lui.
 

Elle se déplace même, comme pour attirer son attention !

Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette
Le Renard et la Bergeronnette

Mais quand même, elle s'envole prudemment lorsque le Goupil reprend sa marche : il est réputé "omnivore" !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Portrait, #Actualité
Loriot d'Europe, le retour

A l'occasion de son retour de migration, avec des observations quotidiennes et des chants entendus notamment dans les bois à travers les micros de la BalbuCam, nous reparlons de ce très bel oiseau en reprenant son portrait (décembre 2011), complété de photos inédites.

 

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Le Loriot d'Europe ? Un de nos oiseaux les plus charmants, dont nous vous avions promis un portrait cet été, alors qu'il se montrait chez nous avec ses juvéniles...

 

Le mâle est paré d'une belle livrée jaune d'or, avec des ailes, le dos et la queue noire.
En voici le dessin par Alban Larousse :

Loriot d'Europe - Alban Larousse

 

La femelle est plus discrète : son plumage est verdâtre tendant au jaune avec l'âge.
 

Le Loriot d'Europe - Oriolus oriolus - est donc un très beau passereau de taille moyenne, au corps élancé. Farouche et très mobile, il est souvent peu visible dans les frondaisons des arbres, lorsque sa couleur se mélange à celle des feuilles . Et quand il se met à découvert, c'est généralement tout en haut, aux sommets : trop haut pour être vraiment visible.

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Heureusement, il y a un autre moyen de le "contacter" : il pratique un sifflement flûté, particulièrement reconnaissable ; un élégant "didelio" répété régulièrement, auquel on peut parfois répondre longuement, pour tenter de se rapprocher de notre ami... avant qu'il ne traverse l'espace et qu'il ne disparaisse comme un éclair !

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Quoique nommé "d'Europe", c'est bien plutôt un oiseau africain, qui nous visite d'avril à août pour sa séquence de reproduction. Cet été, les juvéniles de l'année sont apparus dans notre paysage au début août (photo de droite).

.

C'est le moment pour espérer voir la femelle sortir avec le mâle, comme ci-après, avant qu'elle ne disparaître pour assurer la reproduction de cette saison.

Loriot d'Europe, le retour

Plus de détails sur Oiseaux.com

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Publié le par Jim
Publié dans : #Observations, #Actualité
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !

Fleur de printemps, ce Narcisse a la particularité d'avoir une fleur intégralement blanche.
Comme vous pouvez le constater.

Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !

Mais il faut toujours regarder les fleurs de près, avec amour...

Ne serait-ce que pour découvrir que ces petites étamines n'en sont pas... Et que la fleur est habitée. Parune charmante araignée blanche, une "araignée crabe" Thomise variable (Misumena vatia). Une spécialiste de l'homochromie...

Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !
Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !

Plusieurs espèces  de Thomises sont mimétiques de diverses parties végétales (surtout les fleurs), qui leur servent de support pour la chasse à l'affût. En adoptant la couleur du substrat, ces araignées réalisent un camouflage visuel (homochromie adaptative qui prend quelques heures). Elles sont même capables d'émettre dans la gamme des UV, mimant ainsi les fleurs à étamines matures, ce qui attire plus les insectes.

Elles ont des pattes antérieures I et II plus fortes et plus longues que les postérieures III et IV et dirigées latéralement. Au lieu de la marche normale postéro-antérieure, elles adoptent une marche essentiellement latérale analogue à celle des crabes, d'où leur nom. (Wikipedia)

Blanche sur blanc : la Thomise homochromise !

Comme vous adorez les millions d'araignées qui nous entourent en occupant des niches incroyables et souvent invisibles, profitez-en pour revoir la fabuleuse saga de Barbie, la tendre et cruelle Thomise enflée !

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Premières Sternes pierregarin
Premières Sternes pierregarin

La première Sterne pierregarin (Sterna hirundo) de 2018 est arrivée hier sur la Loire.


Ce matin, elle étaient deux en maraude au dessus du fleuve.

Premières Sternes pierregarin
Premières Sternes pierregarin
Premières Sternes pierregarin

Mais peu de chances de les voir posées sur les bancs de graviers ou de sable : ceux-ci sont sous l'eau depuis des mois, et le niveau n'a pas l'air de vouloir baisser rapidement.

Premières Sternes pierregarin
Premières Sternes pierregarin
Premières Sternes pierregarin
Premières Sternes pierregarin

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité, #Espèces et territoires
Promenade dans les éclosions printanières

6 avril 2018 - Après des semaines d'instabilité, il a suffi d'une journée chaude... Enfin, normale, avec un ciel limpide  presque tout le temps, et sans une seule goutte de pluie, pour que la végétation se décide, après quelques semaines d'attente, à "débourrer", à exploser, presque...

Les redoutable bosquets d'Épine noire, alias les prunelliers, marquent le paysage de blancs éclatants dans les rayons du soleil.

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

Mais la plupart des arbres fleurissent en grappes serrées, que l'on nomme "chatons", comme chacun sait.

Les Peupliers noirs étant dioïques, les spécimens mâles sot rouge cramoisi : cela crée un paysage dont, paradoxalement, la dominante n'est pas verte mais rouge...
 

(Pour tout savoir sur les chatons, allez lire notre article à ce sujet en inscrivant "chaton" dans la case de recherche)

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

Les arbres et arbustes en fleurs très colorées sont des fruitiers (Pêchers, merisiers...) ou des arbustes d'ornement (Cognassier du Japon, Forsythia...)

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

Aux Violettes succèdent les Primevères, les Muscarii, les Anémones sauvages ; et les Pâquerettes envahissent les prairies rases. Quelques timides fleurs de jardin précèdent les grandes floraisons de mai.

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

Dans ce joyeux décor, on part en promenade, on descend à la Loire pour son paysage apaisant et pour retrouver son inépuisable avifaune sauvage...
 

Devant le Mont, sept Grandes aigrettes qui peu après repartent vers le nord.

Quelques familières Aigrettes garzettes.
 

Les Mouettes rieuses qui chassent jusqu’au dessus du coteau.
 

La navigation nonchalante des Cygnes tuberculés.
 

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

On admire le vol en escadrille des inévitables Canards colverts : trois mâles en poursuite d'un femelle...

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières



Des papillons : Citron, Paon du jour, Azuré...


La première libellule « Brunette hivernale », la Sympecma fusca.

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

Et là, faute d’avoir toujours les yeux tournés vers le ciel, je manque de mettre le pied sur…

Promenade dans les éclosions printanières

… Une charmante petite Couleuvre à collier qui se réchauffe au soleil ! Laquelle profite d’un changement d’appareil photo pour filer dans l’eau et disparaître au milieu de la végétation immergée. Mais à trop regarder où je mets les pieds, j’aurais pu manquer…

Promenade dans les éclosions printanières
Promenade dans les éclosions printanières

Non, ce Balbuzard pêcheur femelle non bagué n’est pas Sylva, le direct BalbuCam sur mon portable la montre « fidèle au poste ». La promeneuse prend justement la direction du Grand Bois, et sur l’écran, on voit Reda rejoindre sa compagne sur le nid et agiter les ailes pour dissuader la passante d’avoir des mauvaises intentions.



Et puisque l'on parle d'éclosions, parlons aussi de pontes : ce matin 7 avril à 8h 55, Sylva a pondu son premier œuf tant attendu. Rendez-vous sur balbucam.fr !

Promenade dans les éclosions printanières

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Publié le par Jim
Publié dans : #Actualité
Les oeufs de Pâques

L’aire du Grand Bois a vu le retour de la reine de l’aventure, puis celui de son jeune compagnon : alors que nous venions de mettre en ligne le "En direct" de la BalbuCam, et que nous y assistions à une tentative de "squatt" d'une tierce femelle contestée par au moins deux autres, Sylva a fait son apparition le 15 mars à 13 heures. Quelques minutes après, celle qui s'y était invitée avait abandonné l'aire. Et une demi-heure après, Sylva devait faire face à une ultime et spectaculaire provocation avant de reprendre la haute main sur l'installation.

Reda a suivi deux jours après, le 17 mars. A peine arrivé, il a prouvé que son ardeur était intacte en tentant trois accouplements dans les minutes qui suivaient !

C'est la première fois en six ans que Sylva arrive si tôt. L'an dernier, c'était le 21 mars, mais trois fois elle n'était revenue qu'en avril, et même jusqu'au 19 de ce mois-là ! 

Les oeufs de Pâques
Les oeufs de Pâques
Les oeufs de Pâques
Les oeufs de Pâques
Les oeufs de Pâques

Toutes les actions préparatoires à la reproduction ont repris : apport de poisson par le mâle, rechargement du nid, d'abord pour reconstituer et renforcer les rives avec des branches mortes ; puis garnissage de la coupe avec des mottes d'herbes sèches.

De temps en temps, entre deux séquences de travaux, Reda, assez sûr de lui, a "remis ça" en se posant sur le dos de sa compagne, parfois avec une réussite apparente, parfois de façon plutôt dilettante.

 

Tout est prêt pour ce que des milliers d’observateurs attendent : la ponte du premier oeuf, qui compte-tenu de la date d’arrivée du géniteur, pourrait très bien se situer … le dimanche ou le lundi de Pâques !

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Les oeufs de Pâques
Les oeufs de Pâques

La triste météo qui nous a promené entre pluie et froid dans un ciel trop souvent gris et nuageux n'a pas permis de réaliser "hors-champ" des photos ou des digiscopies exceptionnelles des Balbuzards en ballade.

La Loire, encore haute et turbide, doit décourager les pêcheurs : on ne voit que peu de maraudes de ce côté là : il va falloir patienter, et attendre que les poussins attendus soient assez grands pour commencer à consommer de sérieuses quantités de poisson pour que les passages de Reda deviennent réguliers...

Les oeufs de Pâques
Les oeufs de Pâques

En attendant, Sylva ne boude pas le perchoir.

Jusqu'ici, quand elle y était, on ne la devinait que grâce à son ombre. Grâce à l'élargissement du champ de la caméra, on voit sa queue lorsqu'elle y est présente : un gros progrès ;-)

Les oeufs de Pâques

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